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Biocinétique et toxicité de l'uranium

Résumé

Cet article a pour but d'actualiser les connaissances relatives à l'utilisation de l'uranium sous sa forme appauvrie. Pour ce faire, une recherche bibliographique a été effectuée, portant sur les études chez l'homme et dans l'environnement, (...) . De même, il n'a pas pu être démontré que des pathologies type cancers pouvaient être imputables à l'uranium appauvri. Le risque par exposition externe est négligeable tout comme celui de la contamination des populations vivant près des sites à risque. Pour la surveillance environnementale de l'uranium appauvri sur un site de dépôt, le caractère biodisponible de l'uranium appauvri incite à poursuivre les études pour anticiper une contamination de la chaîne alimentaire, essentiellement par le biais des nappes phréatiques. Ce scénario est en effet le plus susceptible de concerner à long terme les populations et une vigilance s'impose.

 

Témoignage d'un salarié en soustraitance

De l’uranium 238 dans les urines!!! Ce technicien est décédé d’un cancer et à ce jour, cela n’est pas reconnu comme maladie professionnelle.
Il est important de signaler que le technicien n’a jamais été prévenu de ces contaminations par le Centre Expérimentation Atomique.
 Au cours d’une maladie, comment le docteur pourrait établir un diagnostic sans connaitre ces contaminations ? Quel médecin peut pronostiquer une bérylliose à un patient sans connaitre son passé professionnel très « particulier » ?
Cela n’est-il pas criminel ?

demande de dossier pour reconnaissance en maladie professionnelle

M. Quéré est décédé d'un cancer des poumons.

Cette personne avait travaillé en sous-traitance sur le site d'expérimentation nucléaire mais d'après ce document il n'a jamais été inscrit dans les registres, surprenant pour un site classé défense !!!

On retrouve la même pratique pour les vétérans des essais nucléaires. Devant le tribunal, ils doivent prouver qu'ils y étaient (cliquer ici)

De très nombreuses personnes ont travaillé prés de sources radioactives sans le savoir. Mais les sites et installations d'expérimentations nucléaires (Sahara, Polynésie ...) connaissaient les risques professionnels. Comme l'a dit P Messmer, premier ministre, ils n'ont pas protégé particulièrement les militaires et les sous-traitants. Vous pouvez voir sur le document ci-joint, cette personne n'a jamais eu de suivi alors qu'elle a travaillé sur le site de Pontfaverger-Moronvilliers.  

 

 

Prévention des risques avec le béryllium

 

            Le béryllium et ses composés pénètrent dans l’appareil respiratoire à l’état de vapeurs, de particules solides ou bien de fumées puis diffuse par voie sanguine dans le foie, la rate, le rein, les os. Il se transforme en phosphate insoluble, ce qui explique son caractère cumulatif dans l’organisme. De plus son élimination urinaire est très lente. http://medtrav54.free.fr/Nancy_05/Nancy/BERYLLIOSE.doc

La Bérylliose est une maladie pulmonaire professionnelle. L’affection est incurable, mais les symptômes peuvent être pris en charge médicalement 

Les granulomes sont retrouvés dans d'autres maladies chroniques, comme la tuberculose, la sarcoïdose, et il peut parfois être difficile de distinguer la bérylliose de ces affections.

À terme, ce processus conduit à une atteinte pulmonaire restrictive, avec une diminution de la capacité de diffusion.

 

 

 

Les patients présentent cliniquement une toux et une dyspnée. Parmi les autres symptômes on note des douleurs thoraciques, des arthralgies, un amaigrissement et une fièvre.

Plus rarement, on peut observer des granulomes dans d'autres organes comme le foie.

Le délai d'apparition des symptômes peut varier de quelques semaines à plusieurs dizaines d'années après l'exposition initiale. Chez certains individus, une seule exposition peut provoquer la bérylliose.

 

Extrait de journaux

Principe de précaution

Extrait du journal l'union
Extrait du journal l'union

Extrait du site Société Française de Ra d i o p ro t e c t i o n

 

Un Français reçoit naturellement en moyenne 2,4 millisieverts par an. À cette dose, s'ajoute depuis un siècle l'irradiation artificielle d'origines médicale et industrielle.Par exemple,une radiographie des poumons (0,1 millisievert) observer le texte ci joint, l'expérimentation consiste à faire une radio de 100 000 personnes soit 10000 milisieverts, ce qui est considérable) revient à ajouter l'équivalent de 15 jours d'irradiation naturelle à son "compteur personnel".Les irradiations peuvent entraîner des mutations génétiques et des cancers .Cependant, ces maladies sont difficiles à mettre en évidence car elles apparaissent tardivement (plusieurs années voire des dizaines d’années après l'irradiation) et ne se distinguent pas des affections naturelles.De plus, dans une population où chaque individu a reçu la même dose de rayonnements, certains sont susceptibles d'en développer et d'autres pas.Seule une enquête épidémiologique portant sur un très grand nombre de personnes est capable de déterminer si un supplément d'irradiation entraîne un excès de cancers ; par contre elle ne peut pas identifier qui a été atteint. Jusqu'à présent, les enquêtes épidémiologiques n’ont mis en évidence un excès de cancers radio-induits que pour des doses supérieures à 100 ans d'irradiation naturelle.En deçà, il faudrait surveiller pendant plusieurs dizaines d'années des millions de personnes ayant subi des examens radiologiques (comparées à une population de même type n'en ayant pas subi), pour observer un effet, s'il existe. En l'absence de résultats mesurables, le  principe de précaution s'applique. Il consiste à considérer l’absence d’un seuil d’innocuité : le risque existe dès qu’il y a une exposition aux rayonnements.